Nous voulons une Cuba Cubaine, et pas angliciste ! (2 et final)

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Le gouvernement des États Unis parle maintenant de rapports « peuple à peuple ». Depuis bien longtemps la relation des échanges entre les deux nations a été permanente. Il s’agit d’une relation avec une fluidité d’échanges culturel et humain avec New Orléans et avec New York. Elle a été intense pour ce qui est de la musique, de la littérature et bien d’autres domaines intéressant les deux peuples, ce qui n’a pas été une dépendance de l’un envers l’autre, mais d’une interrelation culturelle.

A cette relation il faut ajouter une autre très importante : celle des États-Unis en tant que nation aux mains d’un capital expansionniste et celle de l’Espagne, dont la faiblesse augmente au cours de XIXe siècle.