Cécilia Valdes, "l’ange de la coline"

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En 1839, alors que dans l’Europe latine une fièvre romantique s’empare des créateurs et les écarte de l’observation du réel (Benito Pérez Galdos n’est pas encore né en Espagne, pas plus qu’Émile Zola en France), un Cubain nommé Cirilo Villaverde produit un grand roman qui constitue le plus riche témoignage que l’on puisse avoir sur la société coloniale de son époque : Cecilia Valdès.

Publié sur le site CUBANIA.