Quand “Gabo” écrivait sur …Georges Brassens…Il y a juste 30 ans.

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Le chanteur, auteur, compositeur et poète de la chanson Georges Brassens (22 octobre 1921-29 octobre 1981) est emportée par la camarde à Saint Gély du Fesc (Hérault, sud), dans la nuit du jeudi 29 octobre 1981, à 23 heures 15. Il est inhumé à Sète, le matin du samedi 31, dans le caveau familial au cimetière Le Py (le cimetière des pauvres). Le choc de son décès est immense dans toute la France

Un article de Michel Porcheron Publié dans CUBARTE | 22 , Octobre 2011

Le 19 octobre 1976, il s’était installé à Bobino, à Paris, pour cinq mois. Il présentait les nouvelles chansons de son dernier album. L’une d’entre elles est intitulée : Trompe-la-mort. « C’est pas demain la veille, bon Dieu, de mes adieux. » Le 20 mars 1977, jour de la dernière, personne ne s’est douté qu’il ne foulera plus les planches. « La » maladie était déjà là.
Le choc de son décès est immense dans toute la France. Et aussi ailleurs dans le monde. A Bogota, il y a un Colombien qui est particulièrement touché par la disparition du chanteur français, cet « anar » de toujours, devenu 30 ans plus tard, un classique, un monument de la chanson française et universelle, qui- à son insu- a donné son nom à des rues, des places, des écoles, des parcs, des centres culturels…
Gabriel Garcia Marquez, dit GABO, Prix Nobel de Littérature

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