Communiqué de l’association Cuba Coopération France suite à l’ouragan Irma

Fernando Pérez, dont le dernier film Madrigal est sur les écrans européens, fait partie de ces « cinéastes résistants » refusant les réductions.
Connaissez-vous le cinéma algérien ?
Naturellement, quelques grands noms comme Lakhdar Hamina ou de célèbres films comme la Bataille d’Alger. Autrement, je ne connais pas spécifiquement le cinéma algérien. De part les rapports d’amitié que Cuba a entretenus avec l’Algérie, je devine que certains de mes films aient été projetés à Alger. Personnellement, la seule fois où je suis venu en Algérie, c’est pour aller dans un festival de films latinos, organisé par un jeune péruvien au Sahara-Occidental.
Le cinéma cubain a connu une crise ces dernières années. Comment l’expliquez-vous ?
Le cinéma cubain a perdu sa dynamique dans les années 1990, à cause de la crise économique et sociale que notre île a connue. Mais si cette perte de dynamisme a été dramatique pour la nouvelle génération de cinéastes qui a été freinée en plein envol, le cinéma cubain a pourtant miraculeusement survécu. Je crois que dans un autre pays, avec un autre système et avec les mêmes conditions que les nôtres, l’industrie cinématographique aurait disparu. C’est le cas du Brésil au temps de Collor de Mello.
Avec La Vie, c’est siffler, vous avez annoncé la renaissance du cinéma cubain. Comment se porte-t-il actuellement ?
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