‌

CUBA est reconnu par les institutions internationales comme respectant au mieux le développement durable. Ces dernières croisent deux courbes pour l’affirmer : l’empreinte écologique et l’indice de développement humain.

L’empreinte écologique se calcule en additionnant les consommations d’un pays : eau, énergie, alimentation, moyens de transports, logement..., en les divisant par le nombre d’habitants.

L’indice de développement humain tient compte de l’espérance de vie (accès à la santé, mortalité infantile...), l’accès à l’éducation, l’instruction, le taux d’alphabétisation, l’accès à la culture...

Qu’un pays du tiers-monde obtienne de tels résultats, c’est considérable. Qu’un pays du tiers-monde le fasse avec les contraintes d’un blocus de plus de soixante ans, les sacrifices consentis peinent à être évalués tant ils sont immenses !

Les équilibres restants sont d’une grande fragilité et Cuba est confrontée à des reculs contre lesquels il est nécessaire de lutter avec acharnement.

Une grande campagne est menée pour l’installation de panneaux solaires photovoltaïques (sur les équipements mêmes : hôpitaux, instituts, écoles... ; ’fermes photovoltaïques’...), pour soulager la production d’électricité.

Le maintien et le développement de la biodiversité, la lutte contre l’érosion littorale, la salinisation des terres et des eaux, la lutte contre la désertification, contre la déforestation...

Le développement d’une agriculture répondant aux objectifs du renforcement vers l’autosuffisance alimentaire par l’agroécologie, l’agroforesterie, la rotation des cultures, le lien avec l’activité animale, piscicole...

 
Nous aurons l’opportunité de revenir sur ces différents aspects, mobilisons-nous afin d’encore mieux coopérer tous ensemble !...