Cuba et le trafic de drogue
La lutte contre le trafic de drogue est l’un des sujets où chaque pays se dit investi au plus haut point pour lutter contre ce fléau. Cuba n’y échappe pas. Pourtant, si dans nos « grands pays démocratiques » la consommation ne cesse de progresser, en même temps Cuba est accusée notamment par les Etats-Unis d’être une plaque tournante de ce trafic vers les côtes des Etats américains du sud. Le fait d’être aussi une destination touristique attire aussi les revendeurs de ces poisons qui font tellement de ravages. Comment peut-il en être autrement quand la production de ces plantes d’où sont extraites les substances représente un bien meilleur revenu pour nombre d’agriculteurs dans des pays peu regardants sur la morale de l’histoire. Histoire complexe, certes !
L’article de cette semaine choisi à votre intention montre qu’à Cuba, non seulement on annonce mais on agit aussi. Les politiques de santé publique et d’instruction et d’éducation qui font l’admiration de beaucoup de monde y contribuent et sont là pour le démontrer.
GD
Cuba réitère son intransigeance face au trafic de drogue
Publié par Prensa Latina le 16 août 2024
Le Ministre des relations extérieures de Cuba, Bruno Rodriguez Parrilla, a réitéré aujourd’hui que le Gouvernement de l’île poursuit sa tolérance zéro face au trafic et à la consommation de drogues illicites.
Sur le réseau social X, le chancelier a assuré que les autorités cubaines considèrent comme une priorité la lutte contre ce phénomène social.
Cuba continuera à s’attaquer à ce fléau avec une approche globale, selon le principe de la tolérance zéro, a souligné M. Rodríguez Parrilla dans un message également publié sur le compte Facebook du ministère des Affaires étrangères.
Le texte cite également des informations des Nations Unies, selon lesquelles « 292 millions de personnes sur la planète ont consommé des drogues illicites en 2022, soit une augmentation de 20 % en dix ans ».
mem/raj