La coopération est le moyen de développer des échanges de tous niveaux entre États.

Coopérer c’est apporter ses connaissances, son savoir-faire, ses ressources pour aider au développement de son partenaire, et recevoir en échange de quoi enrichir le sien. Elle est donc fructueuse pour chacun des États qui s’y engagent.

Je pourrais ajouter qu’elle suppose le respect entre les partenaires et que cela favorise une politique sans conflit entre États.

Bien sûr elle doit avant tout être profitable aux populations de ces États. C’est pourquoi elle doit s’appuyer sur le contrôle que l’apport va bien à ce à quoi on l’a destiné.

Dans ce domaine, Cuba en est un bon exemple. Cela lui permet de contrer les difficultés de son économie causées par le blocus.

Comme nous vous l’avons dit, la dernière délégation de notre association à Cuba a eu comme objectif de constater que les projets de coopération que nous avions mis en œuvre ont bien été réalisés et que les populations concernées en ont bien été les bénéficiaires.

Cuba ne manque pas en retour de partager ses connaissances et son savoir-faire.

L’exemple récent que je peux citer est la venue prochaine de médecins cubains dans les Côtes d’Armor pour y renforcer l’offre du système de santé.

La France est un partenaire important pour Cuba et notre association participe beaucoup au développement de la coopération entre nos deux pays.

Les autorités cubaines ne manquent jamais de rappeler que les projets de coopération entre la France et Cuba doivent être portés par Cuba Coopération France.

C’est une importante responsabilité qui nous est confiée et nous allons travailler sans relâche pour l’assumer au mieux, comme nous le faisons depuis près de 30 ans, et avec votre soutien.

Comme chaque semaine je laisse découvrir les articles de notre site qui relatent la réalité cubaine et l’activité de notre association et je vous en souhaite une bonne lecture.