Un des participants, posait la question suivante : Quel est le soutien des pays amis au peuple cubain qui vit actuellement une crise profonde ?

Nos réponses furent les suivantes :

Tout d’abord les pays amis apportent à Cuba une solidarité active qui se traduit par l’envoi par bateaux, par avions de diverses fournitures, les lecteurs de notre Lettre en connaissent la réalité. Un tout dernier exemple : https://www.radiohc.cu/fr/noticias/nacionales/323501-la-russie-va-livrer-a-cuba-des-equipements-novateurs-de-lutte-contre-les-incendies

D’autre part, les pays amis, mais pas qu’eux, engagent des projets de coopération qui sont souvent d’une envergure financière et matérielle de plus grande ampleur. Et dans ce domaine, deux obstacles subsistent : tout d’abord l’application des lois scélérates étasuniennes qui limite, voire empêche, l’intervention des banques ; autre aspect, la faible capacité d’engagement des autorités cubaines. Même si les pays amis acceptent de faire des conditions de payement favorables, en fin de compte il faut pouvoir rembourser...

Nous avons aussi insisté sur le rôle que chacun peut jouer, modestement. D’abord en exigeant que notre pays et l’Union Européenne pratiquent une politique conforme aux décisions qu’ils prennent et qui ne sont pas appliquées. Voir la pétition européenne que nous avons lancée avec d’autres organisations. Et puis, en participant à l’élaboration et au développement de projets de coopération décentralisée, comme ceux que nous réalisons régulièrement.

Bonne lecture des articles divers qui composent la Lettre d’aujourd’hui.
Bien cordialement,