Le Street art à Vitry sur Seine.

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L’art de rue se répand dans tous les pays.

Il existe à Cuba et il existe à Vitry ! . . . un article de notre ami Jean-Pierre Joly, secrétaire général du comité Cuba Coopération de Vitry sur Seine.

 
Le Street art existe maintenant dans tous les pays, l’art de rue se répand dans le monde. C’est maintenant un fait de société. Bien souvent il est le reflet de la condition de vie des populations, des faits marquants de société.

Beaucoup de ces artistes de renommée mondiale viennent de petits pays, c’est le cas de Cuba avec ses 11 millions d’habitants, qui a fait une de ses priorités : la culture et l’art sous toutes ses formes. Notre ami Santiago Hermès en est le témoin.

Vitry se distingue par beaucoup d’établissements culturels, l’école municipale des arts, le MacVal, la galerie municipale de peinture et le centre culturel. Mais aussi par le nombre d’artistes, le nombre de graphes de qualités ; au point de devenir quasiment la capitale de cet art.

Nous aimerions pouvoir faire s’exprimer ces différentes cultures sur les murs de Vitry, ville internationaliste et travaillons dans ce sens dans les deux pays.

Cette initiative se veut être porteuse de paix alors que dans nombre d’endroits des conflits éclatent avec son cortège de souffrance, de morts.

Puisque Vitry est nommée Ville de paix, nous proposons que le thème à retenir soit : la paix dans le monde.

Oui Cuba s’écrit aussi à Vitry

Santiago hermès vient de répondre favorablement à notre invitation pour le mois de juin profitant ainsi de la Fête du lilas. Il pourra déambuler dans les rues de Vitry et donc voir les graphes qui émaillent nos murs, rencontrer des vitriots. 

 Maintenant il reste les choses pratiques, notre comité a donc mobilisé un collectif pour l’organisation du séjour.

Un autre va être mis sur pied pour en assurer l’information dans la ville.

Et un autre chargé de rencontrer les autorités ; bien évidemment les autres activités demeurent comme notre Soirée festive, le Ciné ville au mois de février et la Fête du lilas en juin.

Un grand travail nous attend mais cela ne nous fait pas peur, parce qu’il contribue à faire connaître notre engagement de coopération pour que ce pays puisse seul décider de son avenir.

 Jean-Pierre JOLY