Rompre le silence sur la réalité cubaine

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L’information, que nous recevons ou que nous recherchons dépend de beaucoup de sources.

Il y a d’abord ce que l’on appelle le bouche à oreille, on m’a dit que…, et puis il a l’écrit, la presse écrite, aussi bien quotidienne, qu’hebdomadaire, mensuelle, la presse orale, ce que l’on écoute avec la radio, la presse visuelle, ce que l’on voit avec la télévision, qui a aujourd’hui un grand pouvoir avec les chaines dites d’information.

Le développement des moyens informatiques et de l’internet, avec ses outils modernes, l’ordinateur et le smartphone, prend une place toujours plus importante pour s’informer.

Dans ce domaine de l’information il y a ce qui est dit, ce qui n’est pas dit, ce qui est mis en avant, ce qui est répété sans mesure, et aussi l’interprétation faite.

Ce n’est pas toujours facile de faire le tri parmi toute l’information que nous recevons pour faire la part des choses et avoir son opinion qui peut être différente de celle que l’on veut nous imposer, d’autant plus que les médias qui transmettent l’information sont aux mains de puissants qui en assurent le contrôle.

Dans ce contexte, vous pouvez constater que l’information qui concerne Cuba est le plus souvent marquée par le silence, quand ce n’est pas par des biais trompeurs qui déforment la réalité.

Parmi tous les exemples que je pourrais citer, il y a ce que la plupart des médias appelle “ l’embargo “, terme injuste, puisque le dictionnaire précise qu’il s’agit de mesure de contrainte à l’encontre d’un pays, interdisant l’exportation de certaines marchandises, alors que les mesures prises par les Etats-Unis contre Cuba vont bien au-delà, touchant l’économie, le commerce et la finance. Le terme blocus est donc le vrai bon terme.

Le média que vous recevez chaque semaine, notre lettre hebdomadaire, essaye de vous donner d’autres informations sur Cuba, et nous travaillons beaucoup pour l’améliorer, l’enrichir, parler de ce qui va bien à Cuba, mais aussi de ce qui ne va pas bien.

Les Cubains eux même n’hésitent pas à être très critiques sur leurs erreurs et sur ce qu’ils doivent corriger, sans toujours tout reporter sur les effets du blocus.

Partager les informations que nous collectons et que nous vous adressons chaque semaine, est un bon moyen de rompre le silence sur la réalité cubaine.

Comme chaque semaine je vous laisse découvrir les articles de notre site qui relatent la réalité cubaine et l’activité de notre association et je vous en souhaite une bonne lecture.